La Compétence Universelle Et La Répression Du Crime International

Auteurs

  • Bouzid Seraghni Université de Bejaia

DOI :

https://doi.org/10.59791/arhs.v3i1.2481

Mots-clés :

la répression, crime international, compétence universelle

Résumé

En 1945, les tribunaux des Alliés, victorieux de la second guerre mondial, ont exercé leur compétence universelle, au nom de la communauté internationale, à l’égard des crimes contre l'humanité et des crimes de guerre commis pendant cette guerre contre des personnes qui n'étaient ni des citoyens ni des résidents. Toutefois, pendant le demi-siècle qui a suivi, un nombre restreint d'États inclus la compétence universelle dans leur droit interne à l'égard de tels crimes. Au cours des années, une poignée d'États seulement, dont le Canada, Israël et le Royaume-Uni, ont exercé cette compétence à l'égard des crimes commis pendant la Seconde Guerre mondiale. Il est vraiment regrettable que la majorité des États n’a pas exercé sa compétence à l’égard des crimes graves ayant une portée internationale commis depuis la fin de cette guerre, alors que presque tous sont liés par les conventions de Genève qui confèrent aux parties une compétence universelle pour connaître des crimes les plus graves qui touchent l’ensemble de la communauté internationale

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Publiée

2018-01-01

Comment citer

Seraghni, B. (2018). La Compétence Universelle Et La Répression Du Crime International. المجلة الجزائرية للأمن الإنساني, 3(1), 01–16. https://doi.org/10.59791/arhs.v3i1.2481

Numéro

Rubrique

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